Aujourd'hui j'ai été à la bibliothèque.
Ah, comme c'est beau d'avoir à nouveau envie de lire !!! ^^
Parce qu'à force de bouquiner des trucs qu'on vous oblige à étudier...On finit par être dégoûté. -_-"
Bon ok, j'ai pas trouvé TOUT ce que je voulais...Mais j'ai trouvé d'autres trucs, que finalement je voulais lire aussi ! :D
(En fin de compte je voulais quasiment lire TOUTE la bibliothèque, mais bon...XD)
Nouvelle musique de la soirée:
*
Sans plus attendre, voici venir la suite de l'aventure de notre amie Xitiara...;)
{La technique des dates étant finalement vraiment mauvaise, je l'ai laissée tomber. Comme une vieille chaussette trouée. :D}
Ah, comme c'est beau d'avoir à nouveau envie de lire !!! ^^
Parce qu'à force de bouquiner des trucs qu'on vous oblige à étudier...On finit par être dégoûté. -_-"
Bon ok, j'ai pas trouvé TOUT ce que je voulais...Mais j'ai trouvé d'autres trucs, que finalement je voulais lire aussi ! :D
(En fin de compte je voulais quasiment lire TOUTE la bibliothèque, mais bon...XD)
Nouvelle musique de la soirée:
*
Sans plus attendre, voici venir la suite de l'aventure de notre amie Xitiara...;)
{La technique des dates étant finalement vraiment mauvaise, je l'ai laissée tomber. Comme une vieille chaussette trouée. :D}
Et pourtant, le fait est qu'il devait certainement y avoir une demande, puisque ce genre d' "animation" existait. Elle réfléchissait au nombre de gens que ces spectacles pouvaient attirer (et surtout, intéresser) en une soirée, quand la serveuse si sympathique revint, tenant une tasse.
-"Tenez."
Et elle la posa brutalement sur la petite table malpropre à laquelle Xitiara s'était installée. La guerrière observa le liquide à l'aspect et à l'odeur douteux, en demandant timidement (elle ne voulait pas paraître impolie):
-"Euh...De quoi s'agit-il, s'il-vous-plaît ?"
La serveuse la dévisagea, puis sourit ironiquement, et, en se tournant vers toute la salle, s'écria:
-"Vous avez entendu ça ??? Une petite minette, boueuse et puante, qui entre ici comme une touriste, en demandant "quelque chose de chaud et de non alcoolisé", qui prend des grands airs de citadine, n'est même pas capable de reconnaître du thé quand elle en a sous le nez ! Elles sont belles, les filles de la ville, tiens !"
Et toute la salle éclata de rire.
Alors, Xitiara songea que cela suffisait. Elle se leva, et l'expression de son visage fit instantanément taire toutes les personnes présentes dans la salle. Elle déclara, d'une voix qui semblait très calme:
-"Écoutez, espèce de sale petite ignorante, vous ne savez rien de moi, strictement RIEN. J'ai pourtant été assez polie -polie, un terme que vous rencontrez peut-être pour la première fois, et que vous confondez très certainement avec une attitude hautaine, comme vous le dites-, même lorsque vous avez cherché à me ridiculiser en me qualifiant de "petite minette de la ville" (ce que, entre parenthèses, je ne suis pas, vu que je viens d'un village finalement assez semblable à celui-ci), je n'ai pas répliqué. Mais que vous me reprochiez de ne pas savoir reconnaître le liquide contenu dans cette tasse, alors qu'il a l'aspect et l'odeur d'une eau croupie, non, là, je ne vous permets pas !"
Un silence de mort succéda à ses paroles. La serveuse, d'abord un peu étonnée, devint rouge, puis cramoisie. Elle avait une tête tout à fait effrayante, mais Xitiara était dans un tel état qu'elle n'avait plus peur de rien. Les clients, en revanche, devant ces deux forces de la nature (certes sous des formes différentes mais tout aussi dangereuses l'une que l'autre), commençaient à déserter la salle en faisant le moins de bruit possible.
Soudain, la serveuse éclata:
-"Jack !"
L'aubergiste, qui s'était caché derrière son comptoir, releva brusquement la tête et dit, d'une voix tremblante:
-"Ou...Oui Tya ?"
-"Inscris-nous pour un combat. Tout de suite."
Xitiara s'exclama, choquée qu'on décide ainsi pour elle sans rien lui demander:
-"Je vous demande bien pardon, mais je n'ai pas donné mon accord, et si vous croyez que je vais participer à l'une de vos coutumes absolument ridicule et sans intérêt, vous vous trompez !!!"
Tya la regarda de façon provocante avec un sourire moqueur.
-"Alors...Tu as peur ? Je comprends...Je suis effectivement très impressionante. Très bien. Rentre pleurer chez Maman."
-"Je n'ai jamais dit que j'avais peur. J'accepte ton offre, et tu vas le regretter !" s'écria Xitiara, sans réfléchir (par la suite, elle regretta bien évidemment de nombreuses fois d'avoir perdu son calme).
Le combat fut reporté au lendemain, pour laisser le temps aux gens de parier et d'informer leurs amis.
-"Tenez."
Et elle la posa brutalement sur la petite table malpropre à laquelle Xitiara s'était installée. La guerrière observa le liquide à l'aspect et à l'odeur douteux, en demandant timidement (elle ne voulait pas paraître impolie):
-"Euh...De quoi s'agit-il, s'il-vous-plaît ?"
La serveuse la dévisagea, puis sourit ironiquement, et, en se tournant vers toute la salle, s'écria:
-"Vous avez entendu ça ??? Une petite minette, boueuse et puante, qui entre ici comme une touriste, en demandant "quelque chose de chaud et de non alcoolisé", qui prend des grands airs de citadine, n'est même pas capable de reconnaître du thé quand elle en a sous le nez ! Elles sont belles, les filles de la ville, tiens !"
Et toute la salle éclata de rire.
Alors, Xitiara songea que cela suffisait. Elle se leva, et l'expression de son visage fit instantanément taire toutes les personnes présentes dans la salle. Elle déclara, d'une voix qui semblait très calme:
-"Écoutez, espèce de sale petite ignorante, vous ne savez rien de moi, strictement RIEN. J'ai pourtant été assez polie -polie, un terme que vous rencontrez peut-être pour la première fois, et que vous confondez très certainement avec une attitude hautaine, comme vous le dites-, même lorsque vous avez cherché à me ridiculiser en me qualifiant de "petite minette de la ville" (ce que, entre parenthèses, je ne suis pas, vu que je viens d'un village finalement assez semblable à celui-ci), je n'ai pas répliqué. Mais que vous me reprochiez de ne pas savoir reconnaître le liquide contenu dans cette tasse, alors qu'il a l'aspect et l'odeur d'une eau croupie, non, là, je ne vous permets pas !"
Un silence de mort succéda à ses paroles. La serveuse, d'abord un peu étonnée, devint rouge, puis cramoisie. Elle avait une tête tout à fait effrayante, mais Xitiara était dans un tel état qu'elle n'avait plus peur de rien. Les clients, en revanche, devant ces deux forces de la nature (certes sous des formes différentes mais tout aussi dangereuses l'une que l'autre), commençaient à déserter la salle en faisant le moins de bruit possible.
Soudain, la serveuse éclata:
-"Jack !"
L'aubergiste, qui s'était caché derrière son comptoir, releva brusquement la tête et dit, d'une voix tremblante:
-"Ou...Oui Tya ?"
-"Inscris-nous pour un combat. Tout de suite."
Xitiara s'exclama, choquée qu'on décide ainsi pour elle sans rien lui demander:
-"Je vous demande bien pardon, mais je n'ai pas donné mon accord, et si vous croyez que je vais participer à l'une de vos coutumes absolument ridicule et sans intérêt, vous vous trompez !!!"
Tya la regarda de façon provocante avec un sourire moqueur.
-"Alors...Tu as peur ? Je comprends...Je suis effectivement très impressionante. Très bien. Rentre pleurer chez Maman."
-"Je n'ai jamais dit que j'avais peur. J'accepte ton offre, et tu vas le regretter !" s'écria Xitiara, sans réfléchir (par la suite, elle regretta bien évidemment de nombreuses fois d'avoir perdu son calme).
Le combat fut reporté au lendemain, pour laisser le temps aux gens de parier et d'informer leurs amis.
Voilàààààààà ! :D
C'est pas vraiment ce que j'ai fait de mieux et la fin est pourrie, je vous l'accorde. ^^"
Désolée. :'(
C'est pas vraiment ce que j'ai fait de mieux et la fin est pourrie, je vous l'accorde. ^^"
Désolée. :'(
Très bien. sinon j'adore =)