Lundi 5 mai 2008 à 9:53

Puisqu'aujourd'hui je suis pas pressée...
Et que j'ai même pas besoin de m'arrêter pour manger vu que je mange quasiment pas...(Essayez donc le régime otite séreuse+médocs dégoûtants+mal étrange qui vous fait avoir 24h/24h la nausée...Et amusez-vous bien ! XDDD)
Je vais mettre tout ce temps à profit !!!

D'abord, rangement de chambre (ça sera pas du luxe ^^").
Ensuite, révisions pour bac blanc (toute la semaine...ça non plus, ça va pas être du luxe ! XD).
Enfin, rattraper la journée perdue...Quand je pense que pendant qu'ils sont tous en train de se marrer ENSEMBLE moi j'ai des RDV en tête-à-tête avec ma cuvette...Non pas que ces discussions ne soient pas absolument passionnantes, (si vous saviez tout ce qu'une cuvette des toilettes peut avoir à raconter :P) mais quand même...^^"

Si ça continue, mes médocs je les jette par la fenêtre !!! XD
Qui sait, peut-être va-t-il leur pousser des ailes ? :P
Ne dit-on pas que c'est le printemps, saison de tous les espoirs ?
(Mais très franchement...Je préférerais qu'ils s'écrasent et ne reviennent jamais ^^)

Dimanche 4 mai 2008 à 11:11

Eurk...Me sens pas très bien...^^"

Envie de pouvoir manger sans régurgiter...
Envie de manger tout court...*un peu faible*
Oooooh tiens je vais me poser sur cette chaise, là...
Oooooh mais c'est qu'elle est confortable cette table...
Ah, si seulement j'avais pas mal au crâne...T_T

Ouh là...Je devrais p't'être aller aux toilettes moi...


Très intéressant article...Rien que pour vous ! Et comme midi approche: Bon appétit !!! XD

Jeudi 1er mai 2008 à 16:24

Je suis une véritable peste. :ppp

Oui oui c'est bien moi qui parle, Xitiara, la seule, l'unique (ou plus exactement celle qui adore croire l'être et déteste qu'on lui fasse entendre qu'elle ne serait pas unique en son genre). Non non, aucune erreur sur la personne. XDD

Je suis impatiente.

Je n'aime pas perdre.
Je déteste les reproches

Je me prend souvent pour quelqu'un d'exceptionnel (un peu vrai ça non ? :pp)

Je ne crains pas les disputes, parfois je les recherche même.

Je déteste qu'on me donne des ordres (ce qui ne veut pas dire que je ne les suis pas, parce qu'en plus je suis lâche XD)

Quand je fais la gueule je déteste qu'on me dise: "Il y a des choses tellement plus graves dans la vie." Tout en sachant que c'est vrai. :p

Je suis de mauvaise foi.

Je n'aime pas dire que j'aime quelque chose quand je sais que c'est un truc que tout le monde aime, alors je dis que je déteste ça. ^^ (Purement véridique, et ça expliquera beaucoup de choses, je crois.)

Je déteste qu'on fasse la même chose que ce que moi je fais, même si je n'ai bien évidemment absolument RIEN inventé (et je veux que ça soit clair: je n'ai jamais RIEN fait breveter XDDD)

Quand quelqu'un est meilleur que moi, ça m'énerve.
Dans n'importe quel domaine que ce soit.


La plupart du temps, ça ne me gêne pas de dire ce que je pense,
 même au risque de faire pleurer,
c'est juste la paresse qui me retient
(en sachant qu'après je devrais m'expliquer puisque j'ai fait du mal).

Je joue souvent la comédie.

Et, par-dessus tout:

je suis une grosse jalouse, jalouse à un point pas possible, de tout et de tout le monde, et je l'ai toujours été. :pppp

Une vé-ri-table peste, pur beurre, pure souche, 100% péta*** comme on dit parfois ! XDDD

Étonnant, hein ? :p Voilà qui en surprendra plus d'un/d'une !

Samedi 12 avril 2008 à 21:18

Bilan de ce samedi: mitigé à mauvais (le bon côté c'est que j'ai fait pas mal de devoirs et que je devrais être tranquille demain).

Un bac blanc ce matin, obligée de se lever à 6h30...Dur. Enfin au moins ça n'est pas tous les samedi. (Ai-je pensé ce matin en me levant).
On arrive au lycée, pas de prof. Retard de deux heures, un réveil qui n'a pas sonné. Bon, je dois bien l'admettre, ça peut arriver.

Ce que j'ai par contre du mal à digérer, c'est le sujet choisi: un corpus qui porte sur un objet d'étude que l'on a pas fait. Dur dur ! Du coup, j'ai pris le sujet d'invention, c'était tout ce que je pouvais faire. La motivation manquant, je me suis lancée directement, sans aucun brouillon. Suicide est le mot qui qualifie le mieux ma décision. Un texte qui fait à peine trois pages, mal organisé. J'ai quand même réussi à caser du discours indirect libre...Avec le vague espoir que cela pourrait m'apporter quelques points.

Ma question de corpus n'est malheureusement pas mieux: trop longue, j'ai fait un plan par texte et non par thème, la chose à ne jamais faire. Sans parler de mon introduction qui a une taille phénoménale. En la rédigeant j'ai su d'emblée toutes les remarques que la correctrice allait me faire.

Bref une totale dégringolade.
En sachant qu'aux yeux des profs d'espagnol et de français, cette copie merdique sera due uniquement à moi et à mon manque de travail, je suis saisie d'un certain découragement. Je vais encore devoir m'énerver en réprimant ma colère car j'ai été élevée dans l'optique de respecter mes professeurs, même si ceux-ci sont injustes.

Objectif de la semaine prochaine: fermer mes oreilles à toutes les engueulades, sinon je risque de développer un ulcère à l'estomac. (Se rétamer ne constitue apparemment pas en soi une punition suffisante, il faut également subir des remarques pénibles sur le fait qu'on est en L, qu'on devrait aimer le français et qu'au vu de nos résultats nullissimes on se demande comment on va faire pour avoir notre bac qui approche à grands pas. Si vous désirez que je fasse une prévision sur le discours qui nous attend, il suffit de demander, je le rédige. Cependant je ne devrais peut-être pas critiquer, il est vrai que ce genre de remarques ne sert pas à nous déstabiliser mais à nous motiver pour travailler. Excusez-moi, j'ai juste tendance à l'oublier car sur moi ça ne fonctionne pas.)

Sans plus attendre passons à la deuxième journée de Xitiara. A-t-elle été bonne ?

Samedi 23 mars (en fait c'est pas très logique parce que logiquement tout cela arrive le même jour...J'en appelle à votre indulgence ^^):  La "ville" en question était en fait plutôt un village. Il se constituait d'une simple place non pavée (et donc pour l'heure transformée en une sorte de marécage), entourée d'une quinzaine de maisons en pierre, derrière lesquelles s'étendaient des champs.
    "Un village de paysans, donc..." songea la perspicace Xitiara, se traînant couverte de boue vers une maison portant une enseigne. Sous la pluie diluvienne, elle ne parvenait pas très bien à distinguer ce qui y était écrit, mais elle supposa que c'était une auberge (en fait, elle l'espéra plus qu'elle ne le supposa). Elle voulut essuyer ses pieds sur le palier avant d'entrer (elle connaissait la maniaquerie parfois assez paradoxale de ces auberges paysannes, et ne voulait pas faire mauvaise impression, les étrangers y étant davantage tolérés qu'accueillis en règle générale), mais n'y réussit pas et se résigna à entrer dans cet état.
    Une fois à l'intérieur, elle resta quelques instants dans l'entrée afin de savourer la douce tiédeur de l'endroit. Puis elle s'avança et chercha des yeux un endroit où s'installer.
    Elle ne s'était pas trompée: il s'agissait bel et bien d'une auberge. Une dizaine de personnes étaient assises, pour la plupart formant de petits groupes apparemment habitués de l'endroit. Ils discutaient gaiement, et certains d'entre eux étaient un peu éméchés. Rien à voir cependant avec les spécimens d'ivrognes qu'on pouvait croiser en ville. Comme elle s'y attendait, son arrivée fit légèrement baisser le volume des conversations, et de nombreuses personnes se retournèrent pour l'observer.
Elle s'installa près de la cheminée et après qu'elle eut posé sa cape sur le dossier de sa chaise pour la faire sécher, les gens se désintéressèrent d'elle et continuèrent à jouer aux cartes en bavardant.
    Une serveuse à l'apparence sympathique s'approcha de sa table.
-"Alors, vous voulez quoi ? demanda-t-elle d'un ton agressif.
- Euh et bien...hésita Xitiara, n'ayant pour ainsi dire pas très faim et se rendant compte qu'elle s'était trompée: la serveuse n'avait de sympathique que l'aspect.
- On a pas toute la journée ! s'énerva la jeune femme en la regardant méchamment.
- Quelque chose de chaud et de non alcoolisé, alors !" s'exclama Xitiara qui n'aimait pas qu'on lui parle de façon peu amicale, surtout quand elle n'avait rien fait.
La serveuse partit en ricanant: "Quelque chose de chaud et de non alcoolisé ! Ah vraiment, ces petites minettes de la ville, elles ne savent pas grand-chose finalement !"
Xitiara décida de ne pas relever l'insulte, même si elle trouvait ça un peu fort. "Une petite minette" n'aurait certainement pas, comme elle, dormi dans un bois sombre, à l'écart de toute civilisation, enroulée dans une vieille cape défraîchie, pour se réveiller le lendemain et marcher sous la pluie et dans la boue, jusqu'à une auberge miteuse où quelqu'un l'aurait traitée de "petite minette", justement !
    En attendant sa commande, elle regarda le mur où des petites annonces étaient accrochées:
- RECHERCHE PERSONNE AYANT UNE MéTHODE EFFICACE POUR CHASSER LES RATS (un petit mot avait été rajouté à côté: ACHèTE UN CHAT, ANDOUILLE)
- RéUNION DU CLUB DE BRODERIE LE MERCREDI à 17H ET LE MARDI à 15H CHEZ LILI
- VEND UNE FAUX EN BONNE éTAT (QUI COUPE ENCORE ASSEZ BIEN)
La liste se composait encore d'une infinité de petits papiers, mais une affiche, en plein milieu, retint son attention:
COMBATS DE FEMMES
Vous tenez les femmes pour être des créatures douces et délicates ? Vous les considérez comme fragiles, faibles et sans défenses ? Vous pensez ne rien avoir à craindre d'elles ?
DéTROMPEZ-VOUS !!!
Certaines d'entre elles sont plus terribles et hargneuses au combat qu'aucun homme ne saurait l'être ! Vous ne nous croyez pas ? Venez donc voir un de nos célébrissimes combats de femmes que tout le pays nous envie !
INSCRIPTIONS ET PARIS AU COMPTOIR.

Xitiara soupira. Quelle pratique ridicule ! Elle en avait bien sûr déjà entendu parler, mais jamais en ce qui concernait les femmes (ce qui démentait d'ailleurs les affirmations de l'annonce). Elle n'arrivait pas à croire que des gens pouvaient être assez inhumains et stupides pour regarder, (voire participer !) à ce genre de..."spectacle". Et pourtant...



Samedi 22 mars 2008 à 23:12

Vendredi 22 mars 2008: Pour empêcher l'agonie atroce de ce blog, j'ai décidé de tenir une sorte de journal (houuuuuuuuuuuu l'idée de naaaaaaaaaze !!! Honte à toi honte à toi Xiti !)...Oui, car ma vie est un drame terrible, une catastrophe, une tragédie grecque !!! XDDD Hum hum non en fait c'est juste pour me forcer à écrire un peu tout les jours sur un truc un peu différent à chaque fois (le challenge est de taille, quand même !!!).

    Aujourd'hui je me suis vachement bougé par rapport à d'habitude:
- Je me suis levée pas trop tard (10h environ);
- J'ai fait un bon petit déj en mangeant des céréales au chocolaaaaaaaaat (qui sont très très bonnes)
- J'ai entrepris la quête difficile de finir le jeu Kingdom Hearts 2 à 100% (pas si difficile que ça si on considère que je regarde les soluces "Ah la quiche" allez-vous vous dire et vous aurez raison XD).
- J'ai...

    Bon allez, STOOOOOOOOOP on arrête le délire. Ma vie est super ennuyeuse. C'est un fait. A vivre elle est bien, pas de problème. Mais à raconter...Trop trop chiant. ^^

    Vendredi 22 mars: Xitiara se leva avec en tête un objectif et un seul: trouver le but de son existence. Manger, dormir, réfléchir à sa propre vision du monde,
zigouiller quelques monstres ici et là pour gagner de l'argent et recommencer à manger, dormir et réfléchir à sa vision du monde, c'était bien beau. Mais elle avait le sentiment, l'impression solennelle qu'elle avait quelque chose à accomplir sur cette terre. Quelque chose d'important.
    Les nuages gris, noirs et bleus s'amoncelaient. Il n'allait pas tarder à pleuvoir. Elle s'assura que son épée (courte et légère) était toujours bien en place dans son fourreau, but un peu d'eau dans sa gourde (qu'elle avait pris soin de remplir la veille à un torrent proche) et quitta le petit bois où elle s'était installée pour dormir, un peu à l'écart du chemin. Son but étant très vague, sa destination l'était aussi: elle avait une route, elle la suivrait jusqu'à découvrir ce qu'elle était venue chercher.
    Comme elle l'avait supposé, les premières gouttes l'assaillirent dans la matinée, et se transformèrent rapidement en pluie diluvienne. En moins de temps qu'il n'en faut pour le dire, elle fut trempée des pieds à la tête.
    Elle chercha vaguement un endroit où se réfugier, mais n'en trouvant pas elle se résigna à rester sous la pluie. Elle traversait une sorte de déprime passagère et considérait qu' "un peu plus ou un peu moins de boue dans sa vie n'allait pas tellement la dépayser". En entendant un bruit de charrette, elle quitta le bord de la route et continua de marcher dans l'herbe. Le véhicule la dépassa à toute vitesse, transportant tout un groupe de passagers qui criaient joyeusement: "Vive les mariés !". Les roues lui envoyèrent de grandes giclées d'eau boueuse. C'était ainsi: des gens venaient de lui passer devant en l'éclaboussant de boue, sans s'en rendre compte et en en ayant rien à faire car tout éblouis par leur propre bonheur merveilleux. La vie était dure et l'amour, s'il était bénéfique pour celles et ceux qui le ressentaient, était en général une véritable malédiction pour leur entourage.
    Cependant, qui disait mariés disait village ou même ville proche où elle pourrait s'arrêter un moment pour s'abriter. Il y avait donc un point positif. Flic-flocant et s'embourbant à tout va, elle continua à marcher.
    Une demie-heure plus tard, une ville se profila à l'horizon.


 Infos du jour:

Nombre de petits Lu tartinés de nutella et mangés: 5
Nombre de motifs sur le tee-shirt: 3
Nombre de page lues dans Les mots de Sartre: 2
Nombre de lentilles oculaires gâchées: 1
Nombre de fois où je me suis énervée: 2

Bilan
Une très bonne journée que celle-là. ^^


<< Page précédente | 11 | 12 | 13 | 14 | 15 | 16 | 17 | 18 | 19 | 20 | Page suivante >>

Créer un podcast